Je ne veux pas faire que vivre et mourir,

Je veux aussi exister,

Me forcer à suivre une destiné,

Dans la beauté ou la laideur,

Une destiné toute tracé,

Quelle dure toute une éternité,

Ou le temps d'une heure,

N'est pas mon souhait,


Je préfèrerai arrêter mon cœur,

Vivre une vie ou le corps grandit,

Et ou la grandeur d’âme rétrécit,

Ne me fait pas envie,

Même si respirer, voir, entendre, parler,

Enchante les grands esprits pieux d'en bas,

Mon cœur ne peut abreuver mes poumons,

De la laideur de tous ces cris,

Qu'ils soient oui ou non ventilé par de grandes envies,

L'humain ne m'apprend rien de bien sur la beauté de l’esprit,


Je ne peux lui en vouloir,

D'avoir misé t'en d’espoir,

Et malgré les aspects de continuer d'y croire,

Mais si j'ai souhaité avoir des ailes,

Et voler comme un oiseau,

Ce n'est pas que pour faire voir que le vent et ses souffles divin,

Peuvent me porter sur des terres de paix,

Ni pour montrer que les grands esprits non pieux d'en haut,

N'ont fait que lutter toute leurs vie en vain,

Pour montrer que l'on peut exister dans la sérénité,


Je préfère encore traverser la mer calme toute une éternité,

Ou me faire avaler par les océans,

Qui dans la beauté de leur silence,

Peuvent faire valser leurs vagues en transes,

Je ne suis pourtant pas un esprit penseur,

Je ne fais que respirer l'horreur,

D'une terre meurtrie stimuler par des envies de douleur,

J'aurai beau pleurer de peur,

Mon cœur qui saigne se battra de surcroit contre ce diktat de l'esprit,

Je serai l'oiseau qui triomphant de la pensée tortionnaire humaine,

Aura sus montré que l'on peut exister dans un élan de liberté,

Sur cette terre que malgré tout l'on ne peut s'empêcher d'aimer,

Même si voler en paix de mes propres ailes reste mon seul souhait.


w.g.